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Bêêêêêêêh !
Je chauffe ta peau comme celle d'un djembéet caresse le manche de ton corps de guitare ;
j'accorde les clés, tu te mets là au diapason,
je tends les cordes, tu es tendue, tu te détends.
Tu t'arqueboutes telle une harpe celtique,
tu égrènes les notes dans un soufflement de flûte ;
tu montes le ton, je l'élève d'une portée encore,
tu partitionnes, je participe aussi à la sérénade.
Une plainte de saxophone roucoule de ta bouche ;
une pause, des soupirs ponctuent ta symphonie,
une reprise du thème d'intro' marquera l'apothéose,un silence ensuite, une nocturne ou une fugue enfin.
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Commentaires
2lasaxophonisteVendredi 23 Novembre 2007 à 11:003le bergerVendredi 23 Novembre 2007 à 11:00Nous n'avons pourtant
pas encore comptés les moutons ensemble avant de s'endormir ! Baisers lactés.4GabrielVendredi 23 Novembre 2007 à 11:03Saxo, parfois les cris d'amour
ressemblent à des cris de douleur. Le son d'un saxophone nous rappelle souvent cela !5la bergèreVendredi 23 Novembre 2007 à 11:06tu crois que nous aurions...
le temps de les compter.je crois moi, que nous nous endormirions de suite de fatigue.
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Bêêêêêêêlements...d'amour.