• l'autre



    « Au travail, nos causeries sur Messenger n'ont pas échappé, à la longue, à la perspicacité féminine de plusieurs collègues. J'ai finalement parlé de ton existence, ouvertement mais néanmoins à mots couverts. Il faut tout de même signaler qu'elles (et ils) ne connaissent ma femme que de nom, ou vaguement par intermédiaire.
    Depuis, l'une m'a avoué que ce serait son rêve aujourd'hui, une autre me raconte qu'elle s'est trouvée un jour dans la douloureuse situation de ma femme, une troisième me confie qu'elle aussi, depuis peu,... et l'un d'eux, marié depuis quelques années à peine, me dit que cela éveille en lui de nouvelles interrogations.
    Non, je ne m'attendais pas à tant de complicité. Là-bas, tu existes, mon amour, tout comme ici, et, si ton prénom n'est jamais cité ni de ma part ni de la leur, nombre de fois le matin en arrivant on me demande : ... Et l'autre, comme va-t-elle ? »


    Gabriel

        

  • Commentaires

    1
    Marie...
    Samedi 8 Septembre 2007 à 15:23
    c'est bien pour toi...
    de pouvoir ainsi échanger avec tes collègues ta passions amoureuses avec moi, cela te permets de voir plus clair et surtout d'évacuer, ce qu'il est très important à faire. Tu vois que nous ne sommes pas seul dans ce cas !! Je suis contente d'excister pour toi aussi dans tes dialogues au boulot.je t'adore.(moi je ne peux malheureusement rien dire ...d'où mon obligation d'aller voir un psy, pour évacuer mon amour évacuer...(pas toi !)non
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