• HOT PêLE-MêLE 3


    ... le début ? CLIC !

    Mes lèvres te gourmandaient, du cou aux épaules, des épaules aux creux de tes mains posées près de tes hanches comme des nénuphars, tes paumes qui se resserraient un bref instant sur mon menton, lui qui hésitait encore entre bâbord et tribord. La peau blanche de ton dos m'éblouissait davantage que ce soleil en ascension dans le ciel, doux, tiède, inéluctable. Ma bouche parsemait à présent ton échine de milliers d'étoiles en plein jour. Je sentais tout ton corps s'abandonner au désir, tes reins se cambrer, tes cuisses s'entrouvrir. D'un coup de langue, j'ai alors zébré ta chair, du cou jusqu'à la naissance des fesses. Tu avais un curieux goût de sable et d'iode et nous étions pourtant si loin de la mer. J'ai alors pris tes fesses à pleines mains pour les pétrir, le temps que les rayons du soleil fasse évaporer ma salive. Une tribu de choucas se mit à voleter au-dessus de nous en coassant. Nous les avions dérangés peut-être, à moins que ce ne soient quelques promeneurs dans les bois. Mais ils étaient rares à cette heure, je le savais. Un chasseur, qui sait ? Ou le propriétaire de la prairie. Peu m'importait du reste, pourvu qu'ils nous laissent nous aimer en paix. Toi, couchée ventre à terre, et moi, à croupetons sur la saignée de tes genoux... Mon cœur de loup battait la chamade, mon sexe se dressait sous mon pantalon comme le mât d'un chapiteau. J'avais une envie difficilement répressible d'ôter ce tissu qui nous séparait, de t'écarter les cuisses plus encore, de te prendre et te surprendre, ma louve.

    Mais je n'avais parcouru qu'un tiers de ma visite, je voulais te découvrir encore plus intimement, les jambes, les genoux, les pieds, les seins, le ventre, le nombril, le pli des aines, le mont de vénus, ... 

    Je t'ai alors retournée comme une crêpe ; moi, recroquevillé au-dessus de toi et mes genoux plantés à terre entre les tiens. J'avais besoin de ton regard, j'avais besoin de ta bouche, j'avais besoin des aréoles de tes seins sous mes doigts. J'avais besoin que l'envie nous devienne insupportable.

     

     

    Dans un gracieux et délicat mouvement tu as entrepris mon retournement,  mes cuisses et mes genoux étaient à toi, tu y prenais goût. A pleine bouche de tes lèvres chaudes tu mangeais délicatement ma chair d'ange. L'intérieur de mes jambes maintenant t'était offerte, avec ta langue experte tu as fais insidieusement les détours et contours de ce diamant qui t'attendais suave.

    Nous étions en phase tous les deux, c'était rare d'avoir une telle complicité comme la nôtre.  Tu m'as enlacé en souriant, nos lèvres se sont rejointes, tu étais doux et tendre.
    Je me suis offerte à tes yeux, nue, je me suis donnée à tes mains à la fois douces et de feu. Je ne voulais que toi, toi seul et pas un autre.
    Ta bouche est descendue vers mes lèvres entrouvertes qui n'attendaient qu'un baiser, nos langues se sont mêlées dans une grande douceur, puis ta bouche à parcouru le long de mon corps, j'ai écarté mes cuisses que tu disais aussi douces qu'une crème à la vanille, avec ta langue tu es arrivé enfin à ma fleur ouverte, cette orchidée rose et nacrée qui s'offrait à toi, de ta bouche tu l'as parcourue avec délice et avidité, je bougeais un petit peu et toi tu léchais doucement cette fleur qui s'était ouverte, qui s'était offerte, avec délicatesse et volupté.  Doucement, tendrement tu t'es obstiné, te laissant à ton humeur badine. Enfin, oh ! Moment extrême mon bouton d'or s'est voulu suprême, finement puis goulûment tu l'excitais de plus belle, mon cœur battait de plus en plus vite, tu étais ce chef d'orchestre qui donnait la mesure, mon corps raidi éjectait des murmures.

    L'extase était proche, tu m'as senti frémir, tu t'es arrêté, tu as remonté sur mon corps abandonné à mes sens.
    Tu caressais mes formes rebondies, j'ai senti un frisson se dessiner, mon corps tranquillement s'abandonnait, tu es passé et repassé sur ce sillon subtil,  mon corps frémissait de plaisir, la moiteur nous avait envahis.

    J'avais une envie soudaine de te dévorer, de laisser mes lèvres parcourir ton corps, d'y poser sur toi des baisers ardents, mes lèvres avaient besoin d'aventure, tu avais envie de me sentir frémir et moi je partais dans un délire,  j'ai pris le dessus, voulant avec mes long cheveux te surprendre, le long de ton corps je les ai fait descendre, de douces caresses, ils parcouraient ton corps de leur parfum, un soupir, un murmure, tu souhaitais que ce plaisir ne cesse.
    Je me suis délectée de ce joli fruit, ton sexe, que mes lèvres à sa coupe s'humectaient. Ma langue curieuse est descendue aux enfers, ton envie se faisait pressante, j'ai donc déposé sur ton ventre des baisers, ma langue humide jouait autour de ton nombril décrivant des arabesques, tu étais fébrile.
    Tu ne tiens plus, tu veux plus de plus en plus vite, tu as repris le dessus me regardant droit dans les yeux. Tu regardais mes jolis seins gonflés d'envie qui appelaient tes mains, tes longs doigts s'étaient posés sur eux, pour enfin les toucher, les caresser, j'ai frissonné, des milliers d'endroits s'étaient hérissés, ma chair subissait tes mains, et sous elles, mes mamelons durcissaient, tu t'étais penché sur l'un deux, afin de le déguster un peu, aspirant dans ta bouche cette partie de moi, de ta langue tu as exploré mon téton si droit.

    A cet instant je t'ai entouré de mes longues jambes, t'appelant en moi, pour prendre ce dessert, lentement sur mon sexe tu t'y es glissé.
    Impatiente, en moi je t'ai invité.


    ... la suite et fin ? CLIC ! 

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